Parti Panafricain pour le Salut : notre sérénité inquiète tant…
Le Parti Panafricain pour le Salut, porté sur ses fonds baptismaux le 02 Avril dernier suscite encore ettoujours l’intérêt de nombreux concitoyens et concitoyennes. Cet état de fait est logique dans la mesure où le parti a clairement démontré, à travers la forte mobilisation, qu’il n’est pas venu dans l’arène politique pour jouer les seconds rôles encore moins les figurants. C’est ainsi qu’il a entrepris avec méthodologie et intelligence, un travail de terrain qui s’inscrit dans le cadre d’une consolidation de son assise au plan national. Normal pour tout jeune parti.
Il nous est donné de constaté que cette jeunesse et ce dynamisme du PPS sur le terrain, qui bouscule et dérange des pré-carrés ou des chasses gardés, contrecarre les visées d’autres acteurs de la scène politique nationale. Cela est normal dans le contexte du combat politique sain, qui se mène et se base sur la force de propositions intellectuelles aux populations et pour leur bien-être. C’est donc avec surprise que nous découvrons un texte approximatif et essentiellement écris au conditionnel, indiquant des « désillusions » en notre sein.
Ce texte abusivement appelé article de presse démontre à souhait que la sérénité du PPS depuis sa création inquiète. Mais cette sérénité ne saurait êtreperturbée par une quelconque initiative et quel qu’en soit les moyens déployés.
Le PPS est un parti républicain qui est fortement attaché aux valeurs qui fondent notre nation. C’est ainsi qu’il rejette toute information tendant à mettre en exergue des tendances d’ethnicité au sein de son organe exécutif qui est le bureau exécutif. Par ailleurs, le mécanisme de fonctionnement du parti, basé sur l’équité, la transparence le met à l’abri d’une gouvernance interne décriée.
Le PPS invite les cadres, les militants de base à ne pas se laisser distraire et de garder en objectif, l’œuvre de consolidation de notre démocratie et celle de développement de notre nation que le parti entreprend déjà.
Pour le Bureau exécutif nation
Le secrétariat à la communication