Damiba à la tribune des Nations Unies: “une percée diplomatique” selon Lookman Sawadogo
Le président du Faso, Paul Henri Sandaogo Damiba a pris la parole hier 23 septembre 2022 à la tribune de la 77e Assemblée des Nations Unies. Cette intervention du chef de l’Etat est considérée par le journaliste et écrivain Lookman Sawadogo comme une percée diplomatique du Burkina Faso sur la scène internationale.
Le président du Faso, Sandaogo Paul Henri Damiba vient de réaliser une percée diplomatique sur la scène internationale. Je voudrais saluer ce succès qui n’était pas donné d’avance au regard du contexte actuel de notre pays. Elle est le fruit de bien d’efforts. Nous Burkinabé devrons nous réjouir que notre pays en transition militaire renoue solidement avec la communauté internationale.
Dans ce monde d’aujourd’hui multipolaire et multilatéraliste, il n’existe plus de place pour le repli sur soi et l’autarcie sauf pour des nations suicidaires. En effet, nos difficultés sont énormes et complexes que la mise à l’index et le rejet par cette communauté mondiale ne feraient qu’aggraver. Désormais, l’espoir est permis pour le soutien des partenaires internationaux. C’est pourquoi, nous devons nous sentir interpellé et être saisi individuellement par rapport au message que nous renvoie cette prise de parole à la tribune de l’ONU du président Damiba. En effet, nous sommes aux yeux du monde considérés comme un peuple digne de confiance et notre transition, un modèle.
Il nous reviens de savoir mériter cette confiance internationale en développant une vision commune et constructive du Burkina Faso. Toutes choses qui commandent de mettre de côté les préjugés négatifs, les antagonismes et les querelles de clochers.
Lookman Sawadogo, journaliste et écrivain
1/M. Lookman Sawadogo, votre appel mérite d’être entendu. (Colonel PHS Damiba fait des efforts. Il faut le reconnaître. Mais, il n’a pas les “bons gars” avec lui. De plus, il n’a pas les aptitudes ni les outils.)
2/Vous abordez/posez très mal le sujet de la géopolitique mondiale actuelle ; surtout quand elle Nous concerne.
3/Le colonel PHS Damiba ne maîtrise pas le sujet du Terrorisme/Contre-terrorisme au B.Faso ; et donc encore moins dans le Sahel.
4/La mission d’Etat conduite par le colonel Damiba à l’ONU n’est ni un échec, ni un succès. Vous ne savez pas lire les “non-écrits” dans les chancelleries des Etats ; surtout quand leurs dirigeants se rencontre.
Une fois encore : “Pour échouer à une compétition sportive même de bas niveau, il suffit d’y amener des handicapés physiques…” C’est ce que Nous faisons depuis des lustres. Le reste, c’est du bruit.
5/Déjà, le comportement et les accoutrements de plusieurs personnes de notre délégation à l’ONU, sont simplement pathétiques à minables. Cela ne Nous sert point. Le pire paradoxalement est que Nous considérons cela comme des signes de grandeur. Demain n’est donc pas la veille. L’avenir est sombre, cher Lookman S.