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𝐂đČđ›đžđ«đœđ«đąđŠđąđ§đšđ„đąđ­Ă©: 𝙐𝙣 𝙛𝙖đ™Ș𝙭 𝙧𝙚𝙘𝙧đ™Șđ™©đ™šđ™Ș𝙧 𝙙𝙖𝙣𝙹 𝙡𝙚𝙹 𝙱𝙖𝙞𝙡𝙡𝙚𝙹 𝙙𝙚 𝙡𝙖 đ˜œđ˜Ÿđ™‡đ˜Ÿđ˜Ÿ !

Les nouvelles technologies ont eu un impact important sur notre sociĂ©tĂ© et donc sur le marchĂ© de l’emploi. Internet est aujourd’hui un endroit privilĂ©giĂ© pour une prise de contact entre recruteurs et candidats, que ce soit par e-mail, par des sites spĂ©cialisĂ©s ou gĂ©nĂ©ralistes, ou encore par les rĂ©seaux sociaux professionnels.

Malheureusement, certaines offres d’emplois diffusĂ©es sur Internet ne rĂ©sultent pas de vrais recrutements. Elles sont en apparence identiques Ă  de vĂ©ritables offres, le plus souvent trĂšs attractives pour les candidats.

Ces fausses offres d’emploi sont crĂ©Ă©es par des fraudeurs qui se font passer pour de vrais recruteurs en usurpant le nom d’une entreprise, son adresse, l’identitĂ© d’un salariĂ© ou d’un responsable de l’entreprise en vue de soutirer de l’argent aux probables candidats. C’est le cas de L.E qui, Ă  travers plusieurs faux comptes et pages sur les rĂ©seaux sociaux usurpait des logos types de plusieurs entreprises de la place telles que LIZA MARKET, Alimentation Bon Samaritain, Marina Market, SCIMAS, OSH etc.

En effet, L.E publie Ă  travers des faux comptes et pages des avis de recrutement d’agents ou employĂ©s (commerciaux, caissiĂšres, comptables, rĂ©ceptionnistes, agents d’entretiens, agents de sĂ©curitĂ©) sur les rĂ©seaux sociaux au profit de ces entreprises. Lorsqu’une personne intĂ©ressĂ©e le contacte, il lui fait savoir que les dossiers sont recevables via un compte WhatsApp.
Plus tard, L.E contacte la victime aprĂšs rĂ©ception de son dossier pour lui notifier que sa candidature a Ă©tĂ© validĂ©e ou retenue. Par consĂ©quent, elle doit s’acquitter des frais de badge, de tenue de travail et de dossier. DĂšs rĂ©ception desdits frais, L.E rompt le contact avec la victime.

En plus de ces fausses offres d’emploi, L.E. exerce Ă©galement dans la promotion de vente d’articles en ligne Ă  des prix trĂšs attractifs. DĂšs qu’un client lance la commande, il exige un paiement Ă©lectronique et une fois le paiement effectuĂ©, le contact est rompu avec ce dernier.

Aux termes de l’enquĂȘte, L.E a Ă©tĂ© conduit devant Monsieur le Procureur du Faso prĂšs le Tribunal de Grande Instance Ouaga I pour rĂ©pondre des faits qui lui sont reprochĂ©s.

La Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité invite les internautes à toujours se référer aux pages ou sites officiels des entreprises pour les avis de recrutement ou tout autre besoin.

𝐁𝐂𝐋𝐂𝐂
𝐂đČđ›đžđ«đœđ«đąđŠđąđ§đšđ„đąđ­Ă©

Votre sécurité numérique, notre mission!!!

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