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Perquisition résidences GKS : « c’est une dictature familiale qui veut étouffer les voix discordantes à défaut de les assassiner »

Dans l’écrit ci-après, le service de communication de Guillaume Soro, porte à l’attention de l’opinion que ce mardi 1er mars 2022, deux nouvelles perquisitions visant des résidences habitées par M. SORO KIGBAFORI GUILLAUME, ont été menées à YAMOUSSOUKRO et à LAFOKPOKAHA, son village maternel (Ferké).

Ces perquisitions ont mobilisé plusieurs dizaines d’agents armés de fusils d’assaut dont certains étaient encagoulés et particulièrement agressifs.
Cette double perquisition, qui a débuté aux aurores et s’est poursuivie jusqu’en milieu de matinée, intervient après une autre, qui s’est déroulée le vendredi 25 février 2022 et avait visé la résidence de Bouaké.

La double perquisition de ce jour a été menée sans la présence de témoins ni de personnes représentant les intérêts de M. SORO. Pour rappel, chacune de ses résidences avait déjà été fouillée de fond en comble, à plusieurs reprises, avec des chiens renifleurs et des appareils de géosondage, par différentes unités de Police et de Gendarmerie tout au long de l’année 2020. Aucune découverte n’y avait été faite. Il convient de s’interroger sur les motifs réels de ces nouvelles perquisitions qui interviennent alors que M. SORO est en exil depuis trois ans et que lesdites résidences étaient sous la surveillance constante des autorités ivoiriennes.

De toute évidence, le régime d’Abidjan semble vouloir chercher à tout prix des éléments pouvant servir de base à l’ouverture d’une nouvelle procédure judiciaire contre M. SORO, après celles de 2020 et de 2021, qui n’ont pas entamé sa détermination. La criminalisation des opposants politiques qui gangrène la sous-région trouve là une de ses pires illustrations.

M. SORO KIGBAFORI GUILLAUME fait face, avec calme et sérénité, à cette guerre politico-judiciaire que lui livre M. Alassane Ouattara depuis plusieurs années et qui chaque jour, révèle la nature profonde du régime qui s’est installé par la force à la tête de la Côte d’Ivoire : une dictature familiale corrompue qui cherche à étouffer toutes les voix discordantes à défaut de les assassiner.

TOURE Moussa
Directeur de la Communication

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